vendredi 1 janvier 2010

VIRUS H1N1 Inoffensif et enjeux financiers



Microbe, Virus, Bactéries, Pandémie, Sida, H1N1, mensonges et vérités.

Par Francois Babak Pourbagher


Virus, bactéries, microbes, vaccins, SIDA sont devenus des mots à la fois familiers et à la fois mystérieux. En effet tout le monde en parle, tout le monde en discute mais il faut admettre que peu de sources médiatiques sont précises et exactes et informent d’une manière scientifique et réaliste.
En ce moment on parle souvent de la grippe porcine, ou mexicaine ou H1N1 mais personne ne dit la vérité vraie et informe la population sur le fait que cette soit disant maladie est absolument inoffensive, en tout cas moins que la grippe habituelle et annuelle.
On pourrait penser que les intérêts économiques des laboratoires pharmaceutique influencent l’information, ou le désir des gouvernements à occuper les esprits par autre chose que la crise économique (qui tuent beaucoup plus que le H1N1 !), ou alors par le fait que le sensationnel attire plus que la simple et banale vérité scientifique.
Dans cet essais nous allons donc essayer de bien définir les Tabous comme les Virus, les Microbes, les Germes,et Bactéries afin dorénavant de pouvoir discerner, au milieu de la jungle médiatique, l’information clée et importante qui permet de juger et de comprendre VRAIMENT.
il n’y a aucun TOTEM à craindre ni aucun TABOU à comprendre.


I) MICROBES

L’univers s’est bâti sur les microbes, ils ont toujours été là et seront toujours là.
C’est la base même de la Vie et sans eux nous n’existerions pas.
Ils sont partout : sur notre peau, dans nos draps, dans nos intestins, dans nos yeux ……..
Microbes (micro-organismes) vient du grec MIKROBIOS (dont la vie est courte) et on peut arrondir ses dimensions à un micron, soit un millième de millimètre (10 puissance moins 6 mètre).Ce sont des êtres unicellulaire (une seule cellule) ou des Virus (une seule molécule, donc non vivant).

Les microbes sont aussi essentiels à notre survie (fabrication de fromage, vin, levure) que dangereux (pathogènes : rage, Sida, rougeole, peste…).Sans microbes dans notre intestin nous ne pourrions digérer nos aliments, ni faire de pain, ni de bière, ni du yoghourts etc.….

On peut contracter une maladie (microbe) par de multiples manières : eau, alimentation, sol, l’air, animaux…le corps se défend d’abord par la barrière de la peau mais ensuite par ses défenses et tout cela a permis l’évolution naturelle des êtres vivants.

II) VIRUS : ADAM et EVE.

Un virus est un micro-organisme constitué d’une seule molécule (acide nucléique) et donc n’est pas considéré comme un être vivant. Il ne peut se reproduire seul et il a besoin de parasiter une cellule vivante qui va lui permettre de se démultiplier.
On estime que la vie sur terre est apparue grâce à l’apport de virus par des astéroïdes, car en effet, seul un virus, peut voyager sans dégâts à travers l’espace et il est la première manifestation du matériel nécessaire à la génération de la vie. On peut donc penser que Adam et Eve ont été des virus au sens scientifique de la création.
Un Virus, contrairement à une bactérie, n’est pas considéré comme vivant et il a absolument besoin de parasiter une cellule vivante pour se reproduire.
Une cellule vivante se reproduit par division cellulaire et selon un code génétique inclus dans ses chromosomes. Le virus va aller parasiter ces chromosomes et inclure son code de fabrication au milieu de ces chromosomes : ainsi lorsque la cellule va se diviser elle va aussi recréer la séquence parasite du virus et l'aider à se dupliquer lui aussi. Le virus utilise l’usine de reproduction de la cellule pour se répliquer lui-même : c’est donc un parasite.

Un virus est constitué d’un acide ribonucléique (ARN) ou desoxy ribonucléique (ADN) et d’une coque protectrice appelée capside (constitué de protéine et de glucides).

Ce phénomène de parasitage et de réplication peut aussi être extrêmement bénéfique à l’homme pour guérir des maladies génétique : en effet on utilise donc des virus non pathogènes (virus chimères) pour inclure des séquences génétique utiles (nouveau gênes) et vitales à l’intérieur des cellules malades afin de guérir en lui donnant la séquence manquante. ( muco viscidose, croissance ,hormone..)

C’est aussi, ainsi que l’on peut faire des organismes génétiquement modifié : on introduit par exemple à l’intérieur du génome du maïs un code (par un virus) qui lui donne la possibilité de résister à un parasite en produisant un poison toxique à ce parasite.
En utilisant un virus chimère qui infecterait une cellule, on peut y introduire un exemplaire du gêne fonctionnel et vital voulu ! (Virus source de vie et de guérison donc !)

On change donc l’usine de la cellule du maïs, comme on change celui d’un malade de la mucoviscidose (qui ne secrète pas un solvant particulier permettant de dissoudre les secrétions de voies respiratoires …)
Un Virus n’est pas donc pas forcement notre ennemi : il sera probablement l’outil de la prochaine révolution essentielle de l’humanité par la biais du génie génétique.
Sans l’outil Virus le génie génétique ne peut survivre.

On avait deviné l’existence des Virus par leurs effets, mais ce n’est qu’à l’invention du microscope électronique que nous avons pu enfin les voir vraiment, puisque leur taille est plutôt du nanomètre que du micron : un virus mesure environ quelques dizaines à centaines de nanomètre( un milliardième de mètre).
Les virus contamine l’homme par les voies respiratoires (grippe, rougeole..) ou sexuelle (sida, herpés …) ou par morsure (rage) rarement par pénétration naturelle par la peau. Un Virus n’infecte pas toutes les cellules du corps, il sait reconnaître un type particulier de cellule par un système de codage (clé d’entrée de la cellule) et s’intéresse particulièrement à un type de cellule spécifique : le VIH infecte les lymphocytes T4 grâce à une clé appelé CD4 situés à la surface de T4.
Un Virus a donc la clé d’entrée de certaines cellules et ne s’intéresse qu’à elles seules, ce mécanisme et son pourquoi ne sont pas vraiment encore expliqués sinon on aurait déjà inventé les vaccins ou médicaments. La recherche s’intéresse au mécanisme de réplication dans le but de pouvoir stopper leur développement et de comprendre comment les virus reconnaissent les cellules qu’ils infectent.

Les cellules infectées deviennent donc des usines à virus puisqu’elles multiplient à chaque fois le virus et lui permette ainsi d’infecter l’organisme en entier. Cette infection peut détruire les cellules hôtes, ou même de provoquer un cancer puisque justement la séquence ADN de reproduction de la cellule est infectée. (Papilloma virus par exemple provoque le cancer du col de l’utérus ou les hépatites celui du foie, sclérose en plaque ; maladies dégénératives..).
De plus en plus on se rend compte que des maladies mystérieuses que l’on attribuait au stress, au climat etc.… sont dues à des virus (probablement l’infarctus, le cancer de la prostate, du colon etc.… sont aussi dus à des virus)
Une fois que le virus et répliqué il se libère en provoquant un bourgeons dans la membrane de la cellule et le virus sort en emportant une parti de la membrane : cela peu provoquer parfois la mort de la cellule.
La centaine de virus connus peuvent avoir des effets divers : fatigue (rhume), fièvre (grippe, oreillons, rougeole, herpés, varicelle, zona, verrues, hépatites…) ou la mort (rage, fièvres hémorragiques, encéphalites, poliomyélites, fièvre jaune….)
Certains virus inoffensifs peuvent avoir de graves conséquences sur le foetus et provoquer des anomalies : rubéole par ex exemple.

le SIDA est un rétrovirus .
Un rétrovirus est ainsi appelé car, dans son processus de duplication, il transforme d’abord son brin d’ARN en ADN (rétro transcription), ce brin d’ADN est ensuite intégré à celui de la cellule infectée qui va le dupliquer comme s’il faisait partie de son propre noyau et son matériel génétique. (Provirus).. On distingue plusieurs type de rétrovirus : les lentivirus, les oncovirus, les spumavirus.
Les lentivirus provoquent des infections à évolution lente affectant le système immunitaire (VIH, ..).
Les oncovirus provoquent des cancers car ils possèdent dans leurs génomes un gêne dit oncogène qui induit la prolifération anarchique de cellules (leucémies (HTLV1et2), sarcome..).
Les spumavirus sont encore mal connus et on ne sait pas exactement quelles maladies ils causent.


Il y a aussi les cytomégalovirus très répandus et dangereux pour les personnes affaiblis. En effet ces virus peuvent résister longtemps à l’air libre et rester enfouis dans votre organisme, sous forme latente dans les globules blancs, très longtemps sans aucun symptôme. (Herpes, varicelle, zona, mononucléose infectieuse, rétinite, pneumonie, gastrite, colite, hépatite, méningite.)
Il ressurgissent lorsque votre organisme est affaiblit (herpés génital et labial par exemple).Ces virus sont asymptomatique (sans symptôme) dans 90 % des cas et infectent 50 % de l’humanité. Par ex exemple en France plus 15 millions de personnes sont infectés par l’herpés sans le savoir ni le voir, c’est une maladie sexuellement transmissible et souvent asymptomatique qui se loge, dit on, dans la partie terminale de la colonne vertébrale. Par contre dés que le corps est stressé ou affaiblit le bouton de fièvre apparaît immédiatement.


On lutte contre les maladies virales en essayant de comprendre comment on peut bloquer la clé dont dispose le virus pour entrer dans la cellule. (Par exemple cela est l’axe principal de recherche dans le cas du SIDA).

La vaccination consiste à apprendre à notre corps et notre système immunitaire comment se présente l’ennemi et comment le reconnaître : on injecte alors un partie distinctive du virus ou du microbe dans le corps afin de le faire réagir et surtout lui donner la carte d’identité ou la photo de l’ennemi à combattre, ainsi, lors de la vrai infection, notre système immunitaire réagira immédiatement et donc évitera l’infection.

Ces temps ci on parle d'antiviraux dans le cas de la soit disant pandémie H1N1 : un antiviral est une molécule qui empêche ou entrave la réplication de l’acide nucléique viral.
Ile ne détruisent donc pas le virus ils empêchent juste leur réplication. (L’interféron est aussi un toxique pour les virus que l’on utilise pour les hépatites.).
Pour empêcher un virus de se reproduire, on comprends immédiatement que l’on touche à un domaine encore inconnu qui est la génétique de la cellule et ainsi on ne connait absolument pas les effets secondaires d’un tel médicament.
Un virus a aussi la particularité de s’adapter à son milieu et d’inventer des méthodes pour contrecarrer tout type de blocage à son expansion.
C’est d’ailleurs pour cela que tous les ans on attrape la grippe ou un rhume car le virus est en permanente mutation et chaque année le corps ne reconnaît plus celui de l’année dernière : il est donc obligé de développer de nouvelles défenses contre le mutant de cette année.
Il est donc inapproprié, à mon sens, de prendre un anti viral dont les conséquences peuvent être plus dévastatrices que le H1N1 en lui-même simple virus moins mortel que la grippe annuelle, mais juste plus facilement transmissible.


III) Bactéries

Les bactéries sont eux bien inclus dans le monde des vivants et se reproduisent de manière autonome et asexuée (scissiparité). Leur noyau présente la particularité de ne pas avoir de noyau délimité par une membrane (procaryotes).Leur matériel génétique n’est donc pas isolé du reste de la cellule.
On connait environ 1600 espèces de bactéries différentes et la liste s’allonge chaque jour quasiment.
Bactéries signifie « bâton » en grec ( bakteria) et c’est un savant nommé Ferdinand Cohn ( 1828-1898) qui les étudiait et leur donna cette appellation à cause de leurs forme souvent en forme de bâtonnet ( mais aussi en spire ou sphérique).
ils sont rarement mobile mais peuvent posséder un cils.

On distingue autant de types de bactéries que de types de milieu : les Archea qui vivent en milieu extrêmes (méthanogènes qui produisent du méthane à partir du dioxyde de carbone, halophiles qui vivent en milieu salés extrême, thermophiles qui vivent en eau chaude de plus de 100 °C et se nourrissent de souffre) et les Eubactéries qui regroupent toutes les autres bactéries différenciés par leurs fonctions ou formes.

La taille d’un microbe est proche du micromètre, soit un millième de millimètre, toutefois certain peuvent se voir à l'oeil nu (Thiomargarita namibiensis 0.80mm).
Même si petit, il faut savoir que les bactéries par leur nombre, leur diversité et les taches accomplit sont essentielles sinon incontournables pour le monde vivant : sans eux rien n’est possible (fromages, yaourts, vinaigre, choucroute…..).
Comme pour les virus on se rend compte qu’ils sont à la base même de notre monde.
Par exemple sans eux les animaux ne pourrait décomposer la cellulose et se nourrir, sans eux les matières organiques ne pourraient se décomposer et donner du méthane, ni le fer, ni le manganèse ni ni ni………..

Une bactérie se divisent à peu prés toutes les 20 à 45 minutes : une seule cellule peut donc donner une colonie de un milliard d’individu en une demi journée.

Une bactérie à un matériel génétique sous forme d’un brin d’ADN mais il a aussi parfois un brin supplémentaire (mais non vital) qui lui permet de développer une résistance aux antibiotiques, voila pourquoi les bactéries savent se transmettre la résistance aux défenses développées par l’homme. (Ce brin se transmet entre deux bactéries différentes et même d’espèces différentes parfois).

Les bactéries se nourrissent de plusieurs manières différentes :
les saprophytes se nourrissent de matières organiques mortes et recyclent tout et nourrissent ainsi les plantes.
Les symbiotes qui vivent sur les organismes vivant avec une symbiose ou bénéfice mutuel, les êtres vivants digèrent leurs aliments à l’aide de bactéries comme Escheria Coli, les plantes fixent l’azote indispensable à l’aide de ces bactéries…
Les commensales qui vivent aussi sur les êtres vivant et s’en nourrissent sans leur nuire
Et les parasites qui eux peuvent nuire.



Le corps humain a le moyens de se défendre contre les 200 bactéries qui peuvent lui nuire mais selon son état de santé et l’environnement il peut aussi être infecté et tomber malade plus ou moins gravement (lèpre,gangrène,tétanos,typhoïde,diphtérie,syphilis etc.…….

Il faut savoir que l’homme utilise des bactéries génétiquement modifiées pour produire des produits pharmaceutiques comme les hormones ou les antigènes.

Au contraire des virus on lutte contre les bactéries avec des champignons toxiques pour eux appelé pénicilline ou streptomycine connue sous le nom global d’antibiotique qui les tuent ou les empêche de se reproduire.
On peut aussi prévoir une infection par l’hygiène et l’emploi d’antiseptiques capables de tuer les bactéries avant même leur pénétration dans le corps.

Les bactéries ont failli décimer l’humanité entière tout au long de l’histoire même si sans eux la vie est impossible.
En effet la peste fit 25 millions de morts vers 1350 en Europe, sachant qu’à l’époque il n’y avait que pas plus de 60 millions d’habitant en europe.

Alexander Flemming (médecin) avait oublié une culture de bactéries sur une étagère et à son retour de congé il observa que des moisissures apparues sur la culture avait empêché les bactéries de proliférer : il découvrit ainsi par pur hasard que le champignon appelé penicillium était mortel pour les bactéries.
En 1928 la pénicilline fut donc découverte mais son importance comme toujours nié par les éternels jaloux de l’époque et ce n’est qu’en 1940 que son utilité fut admise.
Un autre savant du nom de Selman Abraham Waksman découvrit un autre antibiotique cinq ans plus tard et essentiel contre la tuberculose qui faisait alors des milliers de morts : la Streptomycine.
Il faut savoir qu’un seul antibiotique n’agit pas sur toute les bactéries, chaque bactérie à son spectre appelé antibiogramme qui définit les antibiotiques auquel il est sensible.
Toutefois ne vous laisser pas abuser par les gouvernements qui sous prétexte d’éviter la résistance des bactéries aux antibiotique vous conseillent d’en consommer moins : on donne dix fois plus d’antibiotique aux vaches et moutons et poulets qu’aux hommes et c’est cet abus là qui développe les résistances bactérienne, la consommation des hommes ne lèse que les budget santé des états.


Conclusions

Nous n’avons pas pu développer( dans cet article) la vaccination, les maladies et leurs symptôme et leurs traitements ; ni le génie génétique qui se développe en exponentiel avec l’aide des virus et des bactéries : un prochain article peut être.

Mais nous savons maintenant à quel point notre existence même découle et dépend de l’existence même de ces êtres minuscules mais si essentiels à la vie.
Sans eux nous ne pouvons même pas digérer nos aliments ni même parfois les produire.
Ils nous permettrons bientôt de corriger le code génétique de nos cellules et guérir de maladies gravissimes.
Ils vont nous permettre peut être même de comprendre comment la vie est apparue et probablement comment elle disparaîtra.

Ils existaient bien avant nous sur terre et sur les astres et soyez certain qu’ils seront encore là quand la nature ne portera plus aucune trace de notre passage ici bas.
Ni la bombe atomique ni le temps, ni la faim, ni le froid, ni l’homme ne viendront jamais à bout des ces animalcules comme les appelait Pasteur.

Je me demande même s’ils ne nous ont pas inventé et élevé pour leur confort à eux. ! (Qui sert à qui ?)

Le Virus H1N1 n’est qu’un épouvantail créé par je ne sais quel intérêt commercial et financier, et, personne ne court aucun risque plus important que la grippe annuelle sinon même moins : c’est que de la science fiction de troisième catégories croyez moi.

Francois Babak Pourbagher
Francois Pourbagher
Babak Pourbagher
Pourbagher Francois